Histoire de Magog
Magog, originalement appelé « The Outlet of Lake Memphremagog », la traduction française signifie l’embouchure d’un lac, soit celui de Memphrémagog, dans la région de l’Estrie, au sud de la province du Québec. À 32 km de Vermont, qui est plus au sud, au États-Unis. Cette ville, qui était un camp indien au tout début, était un arrêt sur le chemin de la rivière Connecticut jusqu’au St-Laurent. Elle a été colonisé dans les environ de 1776 par des réfugiés loyalistes des États-Unis. Des moulins à farine alimentés avec des barrages et des scieries ont été construit en 1798 et une école a été ouverte en 1818. L’impression de calicot, qui est une toile de coton et qui jouera un rôle important dans le développement de la ville, débutera en 1884. La colonie adoptera le nom plus court de Magog en 1855 lorsque la colonie deviendra une ville.
Les indiens Abenaki, les premiers à découvrir et à habiter la région, ont laissé une marque présente jusqu’à aujourd’hui, soit les noms de plusieurs places, tel que Memphrémagog, Massawippi, Megantic et Coaticook. Quand les américains ont déclaré leurs indépendances en 1776, certains loyalistes à la couronne d’Angleterre ont décidés qu’ils ne voulaient pas vivre avec cette nouvelle politique, soit le républicanisme, ils ont donc décidés de fuir au nord, là ou il y avait encore un contrôle Britannique. Le gouvernement de l’Estrie, très content d’accueillir ces nouveaux colonisateurs loyals, leur a donné de généreuses portions de terre que l’on appelera des cantons. Des centaines de loyaliste en feront leurs nouveaux domiciles qu’ils appeleront Townships, traduit par Cantons de l’Est. Ils seront suivis par les vagues d’immigrations de catholiques irlandais en 1820, venant de l’Irlande du nord lorsqu’elle sera annexé au Royaume-Uni. Et encore de nouveau en 1840 à cause de la pénurie de patates.
Dans les années 1850, la démographie de la population, à ce temps dominé principalement par les anglophones, commencera à changé. La majeure partie de l’économie sera centré sur les chemins de fer et l’industrie forestière et qui employera surtout des canadians français, qui éventuellement deviendront des propriétaires de terre. Rendu au début du 20ième siècle, la majeur partie de la population sera devenu francophone. Ce changement fera en sorte qu’il faudrait trouver un nom français pour Township. L’écrivain A. Guerin-Lajour, auteur de Jean Rivard, le défricheur (1862) suggèrera Canton pour Townships. Il expliquera que, à cause que son roman se passe dans les cantons, il ne veut pas utiliser un mot anglais, et que, vu qu’en Suisse, là ou le français et parlé et écrit, ils utilisent un terme de division territoriales similaires qu’ils appellent cantons, donc il utilisera ce mot à dans son roman. Pour la toute première fois, le terme des Cantons de l’Est apparu. L’appelation Estrie est aussi utilisé couramment pour désigner la région, surtout pour le côté administratif du territoire.
Nicholas Austin sera accordé le territoire de Bolton sur la rive ouest du lac. Peu après il déménagera sur la côté est et bâtira un barrage très simple à travers la rivière de Magog. Le barrage sera utilisé pour activé un moulin à faire ainsi qu’une scierie. Un documentaire produit par White Pine Pictures parle de ce personnage qui sera important dans l’histoire de Magog.
Aperçu de A Scattering of Seeds:
Peaceable Kingdom: A view of Nicholas Austin (White Pine Pictures)
En 1799, Ralph Merry III prendra la relève. Il achètera les bâtiment de Nicholas Austin et les utilisera pour les rendre lucratives. Jusqu’à ce jour, Merry est considéré comme le fondateur de Magog, il habitera dans la région ou le pont joins les deux sections de la rue nommé avec son nom. Il est maintenant enterré au cimétière de Pine Hill.
Sur les deux côtés de la rivière, plusieurs autres moulins seront construit. Cette petite région commencera à devenir un véritable poste de traite. Les différents moyens de transportation seront beaucoup améliorés, des lignes de diligences seront étables entre Sherbrooke et Magog, ainsi que Magog et Stanstead. À la fin du 19ième siècle, la ligne de chemin de fer de Waterloo et Magog sera construite.
Au tout début du 19ième siècle, plusieurs hotels seront batît pour accomodés les visiteurs voulant savourer de tranquille vacances dans un environemment de campagne. La navigation saisonnière sur le lac sera établie, ce qui servira les industries et les commerces ainsi que pour une attraction touristique.
Add a comment
You must be logged in to post a comment.