Chapitre 1
The Outlet
Épreuves, pauvreté, isolement et les indiens était les débuts de Magog, appelé à cette époque The Outlet, traduit littéralement en français pour sortie ou embouchure. Cette région, d’une extrême beauté naturelle, combiné au fait qu’il y a d’immense forêt et est situé parfaitement a l’embouchure du lac Memphrémagog sont des points importants considérés par les loyalistes de l’empire Britannique qui ont colonisé la région en 1793. L’histoire du développement de cette place qui n’était qu’un arrêt temporaire pour les voyageurs est tout simplement fascinante. C’est surtout l’histoire d’une personne avec une grande confiance dans la communauté et aussi de son talent remarquable à faire avancer les choses qui ont marqué la région.
Alvin Head Moore (1836-1911) était son nom, professeur, marchant, rêveur, constructeur, homme d’affaire et politicien. Ses efforts and ses erreurs ont fait de Magog la ville qu’elle est maintenant. Pourtant, les livres d’histoire n’en parle que rarement. Un des biographes en parle en disant qu’il est mort d’un coeur brisé. Mais la ville de Magog d’aujourd’hui est quand même bati sur les fondations qu’il a construit.
Les premiers à vivre à Magog seront les hommes rouges, les Abenakis. Il y a très peu d’évidence qu’ils ont effectivement établit des campements dans la région, mais ont sait qu’ils étaient plutôt nomades. Ils arrêtaient sur les rives du lac Memphrémagog à l’embouchure du lac comme une place de repos lors d’expédition de recherche dans les montagnes et les champs des Cantons de l’Est lors de période de chasse. Ils passaient par Magog, leurs faces peinturés, à pagayer vers le sud sur le lac pour faire la guerre à leurs enemis, les Iroquois. Dans ces combats, ils ont rencontré d’autres guerriers aussi féroce et cruel qu’eux. Du nord au sud sur la rivière St-François et le lac Memphrémagog, en plusieurs siècles de combats entre Abenakis et Iroquois, Anglais et Français, de multiples groupes de canoës, de pirogues et de bateaux ont navigués ici. C’était une place parfaite pour un terrain neutre, pour se reposer entre un 30 miles au sud du lac ou le passage plus turbulent au nord avec les rapides et a l’entour des chutes de la rivière Magog.
Il est très difficile de connaître exactement qui était la première personne à mettre un pied à Magog. Mais c’était possiblement François Hertel au temps de Frontenac. Hertel à conduit une expédition avec les Abenakis et les soldats français à travers Magog lorsqu’ils étaient en route pour la Nouvelle-Angleterre en 1690.
Les missionaires français ont surement fait des arrêts par cet endroit, lorsqu’ils traversait le territoire indien à la recherche de nouvelle personne à convertir au christianisme. Ou encore, les premiers colonisateurs ont pu être John Stark et Amos Eastman qui ont été capturés par les indiens Abenakis. Peut-être même que certain des Rogers Ranger ont fait des campements furtivement à cette place en 1758 alors qu’ils étaient en retraite du massacre du village indien de St-Francis, malgré que seulement une poignée de ceux-ci ont voyagés aussi loin que Magog.
Les hommes blancs ont vu Magog, mais aucun n’est resté. La colonisation était encore loin d’apparaître.
Lorsque la colonisation débutera réellement, cela viendra du sud. À partir des treizes colonies britanniques de cette époque apparaitront des colonisateurs qui ne voulait aucunement faire part de la révolution qui se passait aux États-Unis. D’autres ont migrés plus tard car ils n’aimaient pas la nouvelle nation des États-Unis après l’indépendance. Ils ont voyagés au nord, certains étaient promis une terre, d’autres par l’opportunité de travailler sur une terre. Ils ont colonisés les Cantons de l’Est, surtout au nord et au sud du lac Memphrémagog car ils utilisaient le lac comme moyen de transport, tout comme les indiens. Certains colonisateurs ont batî des cabines tout proche du lac Memphrémagog à son point le plus haut, au nord, là ou Magog est présentement.
Ces personnes étaient solides, nourri par les difficultés d’établir un campement. Ils arrivèrent à pied, hommes et enfants avec de la nourriture, des haches et leurs bras. Les femmes avec leurs bébés étaient chanceuses s’ils pouvaient faire 150 kilomètres avec un cheval. Des chariots et des charrettes, tiré par des boeufs avancaient lentement, du sud au nord, jusqu’a leurs nouvelles terres.
Cette colonisation aurait pu être débuté plus tôt si ce n’était des objections du gouverneur Haldimand. Cette région est resté sous le contrôle Britannique après la révolution aux États-Unis, mais juste avant, plusieurs loyalistes Britanniques ont signifiés leurs désirs de fondé une colonie dans les Cantons de l’Est. Le gouverneur Haldimand en a interdit l’accès, raisonnant comme quoi les forêts épaisses de la région était une protection au cas ou il y aurait une invasion par les voisins du sud.
Par contre, le nombre d’immigrants qui voulait coloniser la région ne pouvait être ignorer. Du sud qu’ils sont venus, forts et fiers, autonomes, vigoureux, résolus avec une bonne connaissance des dangers de la nature et habitués à ne pas tout avoir à cause de l’isolement de la région. À la fin du 18ième siècle, les haches retentissaient dans les bois à l’entour du lac Memphrémagog. Il y avait du l’eau, du bois et de bonnes terres le long du lac. Et même si on est encore loin d’une vie communautaire, d’une ville, c’est à ce temps que Magog est née.
Il y avait aussi des d’Américains qui ont combattus comme patriotes contre l’Angleterre. Ils sont venus pour avoir une nouvelle vie, venant d’une nation épuisé par la guerre et à court de ressources après une guerre prolongé contre l’Angleterre. Une de ses familles pour Magog et Hatley était les Rexford. Après leurs services de guerres, ils sont arrivés de Wallingford et ont colonisés la région en 1795. Ils n’étaient pas des loyalistes britanniques, c’était des patriotes américains venus pour des terres gratuites. Il est très possible que plusieurs personnes ont fait de même.
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